A commencer par la cascade Niagara, la route pour y parvenir sillonne un dédale de cannes à sucres (ça change des champs de blés…), les tiges montent jusqu’à deux/trois mètres au-dessus de la voiture, la route est le seul champ de vision !
Puis on longe la côte pour descendre vers le Sud pour enfin comprendre pourquoi la Réunion est la région française la plus touchée par les risques naturels. En descendant sur Anse les Cascades, on découvre alors un site encore bien marqué par le passage du dernier cyclone Fakir. Des arbres abattus par le vent jonchaient le sol, seul la petite forêt de palmier est restée bien intact. L’endroit reste d’autant plus splendide et mystique dans ce décor post apocalyptique !
Maintenant vous avez faim je pari ? Ça tombe bien, proche d’Anse les Cascades, j’ai pu tester un charmant restaurant proposant une cuisine créole ou asiatique ainsi que des grillades à prix abordable.
On reprend la route pour le Sud Est. Il n’y a pas que les cyclones qui laissent des empreintes sur l’île. Cette région est aussi bien symbolisée par la route des laves marquée par les éruptions de 1977, 1986 et surtout celle de 2007.
En fin de journée, on s’est rendu vers une autre cascade à Langevin. Le décor a été utilisé pour une des séquences d’une publicité de fromage frais de la marque Tartare.
Si vous avez encore du temps allez admirer le coucher de soleil sur la plage de Grande Anse. J’ai eu du mal à réaliser que j’étais bien là, dans un décor paradisiaque que j’avais vu qu’à la télé ou sur des cartes postale !
Pour finir l’étape, le restaurant Le Papayer est idéal pour dîner à volonté de nouveau plongé dans le rythme métissé de la Réunion. En effet Le mercredi soir un groupe de musique folklorique vous animera en toute quiétude proche de votre chambre d’hôtel.
L’hôtel le Relais de l’Hermitage : point de départ idéal pour la découverte de ces trésors.